THÉÂTRE

ATTENTION , plus que deux week-end pour la pièce de Claude MARTIN, « LA PAROLE EST A LA VICTIME » . Les vendredis 9, 16, les samedis 10, 17 à 20h00 ouverture des caisses 19h30 et les dimanches 11, 18 à 15h30, ouverture des caisses à 15h00, et tout cela au mois de novembre bien sur!  16 Euros et 6 Euros pour les – de 12 ans 02 38 95 20 48. Salle de l’Abbaye

Voici un article paru dans l’Éclaireur du Gâtinais du mercredi 7 novembre, merci Hélène D

Choisie et travaillée pour les 35 ans du Théâtre « Les 3 Coups », « La Parole est à la Victime » est un comédie policière mise en scène par Patrick Louis.

Il y a un mort c’est sûr et c’est même lui, Max, qui va vous parler. Avant que les amis qu’il a invités à ce dîner ne le retrouvent mort, il était avec eux, à table, buvant, riant et mangeant normalement. Rien ne laisser supposer ce brutal décès, mais … le médecin dit que « ce n’est pas accidentel » Alors?

Terrible interrogation pour ce groupe d’amis. Enfin amis… il faut voir… Il faut surtout bien écouter car vous public, vous serez interrogés.

C’est du très bon théâtre, c’est fin, c’est astucieux, on se pique au jeu, la performance d’acteur est solide et l’on passe un excellent moment.

Délicieux moment aussi la petite collation en interlude.

Quand à la deuxième partie du spectacle, « collets montés » s’abstenir car c’est un petit régal de truculence

Théâtre

1983-2018. C’est au lendemain des premières fêtes historiques que fût créée la troupe « Les Trois Coups ».
Courteline, Feydeau, Goldoni, Tirso de Molina, Anton Tchekhov, Obaldia, Maupassant, Jean Anouilh, Raymond Queneau, Régis Porte, Edouardo de Filippo, Hervé Charles, Jean-Claude Brisville, Jean-Philippe Decreme, Jacques Rampal, Henri Loué, Yves Garnier, Robert Thomas, Molière, Marc-Gilbert Sauvageon, Gérard Dessalles, Christine Reverho, Jean-Charles Gaillard, Eric-Emmanuel Schmitt, Alain Krief, Catherine Davault,  André Tardieu, sont les auteurs de 35 années de théâtre. Et cette année, pour fêter ces trente cinq ans, nous vous proposons, une soirée particulière: Une pièce de théâtre, une collation salée sucrée, suivi d’un spectacle surprise. La pièce est une comédie policière en deux actes de Claude Martin « La parole est à la victime ». En 1968, ils étaient sur des barricades. Aujourd’hui, nous sommes vingt ans après. Ils se retrouvent, comme très souvent, autour d’un repas bien arrosé. Il y a Max en compagnie de son épouse Catherine et de ses meilleurs amis: Bernard Monique, Charlie Karine, Dominique, Jean-Loup et Sylvie. Max en maître des lieux s’endort et se réveille… mort, empoisonné. Hors pendant tout le week-end, il n’a côtoyé que sa femme et ses invités. Alors qui, parmi ces personnes en qui il a toute confiance, a pu commettre ce crime? C’est la question que tous vont se poser, et surtout qui « vous »sera posée. Cette pièce sera servie par dix comédiens, mis en scène par Patrick LOUIS, salle de l’Abbaye les vendredis 9, 16  novembre à 20h00, les samedis 3, 10, 17 novembre à 20h00, et les dimanches 4, 11, 18 novembre à 15h30.
Au vu du nombre de places limité et de la collation qui vous sera servie,
la réservation est fortement conseillée au 02.38.95.20.48. Le prix des places est de 16€ et de 6€ pour les moins de douze ans.
Puis au son de la cloche, vous serez invité à retourner en salle pour assister à un spectacle surprise desservi par huit comédiens.

Théâtre

La troupe  « Les Trois Coups »,  de la Maison des Loisirs et de la Culture de Ferrières s’est remise au travail.

Non, « Les Trois Coups » ne sont pas morts! Le bruit a couru qu’il n’y avait plus de théâtre à Ferrières. Nous sommes toujours là, bien vivants, et nous vous préparons une pièce de théâtre, comédie policière, suivie d’une surprise puisque nous fêterons les 35 ans de la troupe.

Mais il est encore un peu tôt pour trop vous en dévoiler. Notez déjà dans vos agendas que nous jouerons au mois de novembre salle de l’Abbaye.

Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de l’évolution de notre projet théâtral 2018.

Théâtre de Courtempierre, »Les Patates Chaudes »

Qui sont « Les Patates Chaudes »

C’est l’histoire d’un groupes d’amis qui se lance dans l’aventure théâtrale en 2015. L’association naît en décembre 2016, dans le sillage des ateliers hebdomadaires à Courtempierre. Le noyau du début c’est étoffé au fil des mois, 7 comédiens, débutants pour la plupart, provenant de Courtempierre, Amilly, Villemoutiers et Paris.

Depuis quelques mois,  Patrick LOUIS, metteur en scène de la troupe Ferrieroise « Des Trois Coups » vient apporter son expérience au groupe pour la mise en scène.

 « La Ronde »

La pièce est constituée de dix brefs dialogues entre deux personnages, un homme et une femme qui ont une relation sexuelle. Le spectateur assiste aux préliminaires, aux jeux de séduction ou de pouvoir, et à la fin du tête à tête. L’acte sexuel lui-même n’est pas mis en scène. « La ronde » est constituée par le fait que chacun des protagonistes à deux partenaires successifs et apparaît donc dans deux scènes consécutives, et que le dernier personnage a une relation avec la première.

Arthur Schnitzler dépeint la société Viennoise de la fin du XIXe siècle, en présentant des personnages issus de toutes les classes sociales. Il commence la pièce, qu’il qualifie « d’hémicycle de dix dialogues » le 23 novembre 1896 et la termine le 24 février 1897.

En raison de cette thématique sexuelle, la pièce déclencha l’un des plus longs scandales de la littérature allemande. Au-delà de la question des « bonnes mœurs » et de la censure, elle servit de vecteur à l’antisémitisme.

Arthur Schnitzler écrit de sa pièce « de tout l’hiver, je n’ai écrit qu’une suite de scène parfaitement impubliable et sans grande portée littéraire, mais qui, si on l’exhume dans une centaine d’années, jettera sans doute un jour singulier sur certain aspect de notre civilisation ».

La première publication publique à eu lieu le 2 avril 1903.

La pièce est crée seulement en 1921.

La première traduction en Français paraît  en 1912.

la ronde

INFOS  RENSEIGNEMENTS ET RÉSERVATION: 06.33.56.07.96

 

THEATRE

affiche 2016 théâtreLaissez-vous transporter en 1942, plus précisément en hiver 42.

Deux pièces  vont se croiser, « CONVERSATIONS » adaptation des 3 coups, et « IL FAUT DÉTRUIRE SOCRATE » d’André TARDIEU.

A la fois, ce qui se passe sur le plateau, mais aussi, que font les ouvreuses pendant ce temps-là ? Elles, aux nombres de cinq vont prendre en charge le public et leur  raconter leurs petites vies en 1942. Leurs craintes, leurs déboires, leurs vies passées, leurs vies futurs, leurs inquiétudes face à l’ennemi. Mais aussi leurs joies de vivre! Dans leur vestiaire, elles vont fêter un anniversaire, et quel anniversaire puisque c’est celui de la « Responsable » des ouvreuses! Restriction oblige, ne les empêchent pas de manger et surtout de boire. Elles vont virevolter, râler haut et fort.

De l’autre côté du rideau rouge, dans le vestiaire des ouvreuses, à qui personne ne prête attention. A leurs manières, elles aussi jouent un rôle. Elles se livrent sans retenues, l’une à l’autre. Dévoilent avec une tendre pudeur les sentiments les plus intimes. Entre rires et désespoirs. Des femmes moins ordinaires qu’il n’y paraît! Un langage simple, quotidien. Tous ces rôles de femmes sont riches variés drôles et émouvant à la fois.

Et pendant ce temps, sur le plateau, nous sommes toujours en hiver 1942. Une ville française sous l’occupation nazie. Un officier allemand été abattu. Deux membres de la Gestapo demandent à un père de leur désigner « Un » de ses trois enfants en otages… Un huit clos étouffant… Un combat psychologique indécis malgré les apparences.

La Gestapo n’est pas entrée par hasard, ils ont des soupçons… Une seule solution: gagner du temps… Ne pas tomber dans leur jeu… Ne pas donner de réponse… Ne pas se laisser abattre… Jouer les innocents, jusqu’au bout. Garder la tête froide, maîtriser ses nerfs. Peu-être bluffent-ils? Pas d’autre solution pour ses enfants. Une chance sur cent, mais il faut là jouer à fond, la guerre n’est-il pas un jeu dangereux Monsieur LESSEL?

Ce drame psychologique vous emmènera dans un suspens jusqu’à la dernière phrase.

Sept comédiens pour une 1h45 d’un drame en deux actes. Au total 2h45 d’un spectacle sans entracte.

Salle de l’Abbaye, huit représentations sur trois week-end du 12 au 27 novembre
RÉSERVATION (un seul numéro) :02.38.95.20.48